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Origines et histoires
Le pommier Api étoilée, vient du Duché de Wurtemberg, en Allemagne, et date d’avant 1605. La Duchesse de Wurtemberg l’a envoyée à Montbéliard en 1605, et le botaniste suisse Jean Bauhin l’a décrite dans Historia plantarum universalis en 1650.
Elle présente une forme aplatie en étoile à cinq lobes, une peau jaune d’or teintée de rouge et une chair blanche, ferme et légèrement acidulée.
L’arbre, de vigueur moyenne et au port légèrement pleureur, a besoin d’autres pommiers pour être pollinisé, comme la « Reine des Reinettes ». Il résiste à la tavelure et au mildiou, mais reste sensible au carpocapse. Il fleurit début avril et se récolte en novembre-décembre, avec des fruits qui se conservent jusqu’en mai.
En cuisine, le pommier api étoilée se consomment crus, cuits ou en pâtisserie.
Description du fruit
Forme : moyenne à légèrement aplatie, parfois étoilée au niveau de l’ombilic.
Peau : jaune clair à jaune doré, lisse, parfois légèrement striée de vert ou de rouille.
Chair : blanche, ferme, croquante et juteuse.
Saveur : douce, agréable, avec une note discrète rappelant la noisette ou la pomme ancienne.
Floraison : mi-avril.
Récolte : novembre.
Conservation : bonne, jusqu’à 4 à 5 mois (mars-avril).
Utilisation culinaire : idéale en compotes, jus, tartes ou salades. Convient également à la dégustation crue


